CopéEt ce n'était pas pour rien. Comme je l'indiquais dans ce précédent article, si Albanel était contente malgré la censure de la loi Internet et Création par le conseil constitutionnel, c'est évidemment parce que sa mission était bien plus importante que d'endiguer le piratage.

C'est Jean-François Copé, président du groupe UMP à l'Assemblée Nationale, qui l'avoue ouvertement : [la loi Hadopi] n'est d'ailleurs que le point de départ. Car il y aura un sujet plus large qui est la régulation sur Internet.

On s'en doutait sans trop vouloir oser y croire, c'est maintenant officiellement confirmé : le gouvernement veut contrôler Internet par tous les moyens et ainsi tuer le peu de démocratie qu'il nous reste dans notre république.